C'est avec deux albums en poche et quelques tournées (dont la première partie européenne de Depeche Mode), que les new yorkais de The Bravery ont transformé la Maroquinerie en un bouillonnant dance floor. Leur musique, influencée par le rock et la new wave anglaise des années 80, est plus qu'efficace : les rythmes sont entraînant, les riffs dansant et les refrains imparables. La recette éprouvée est certes déjà vu, mais elle est ici efficace au plus haut point. Grâce à des musiciens qui démontrent un gros appétit de scène, un vrai plaisir d'être là, une bonne maîtrise de leurs instruments, une attitude naturelle et, cerise sur le gâteau : des belles gueules qui ont fait tourner plus d'une tête ce soir là.
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