
Deux guitaristes (dont un chanteur) qui affichent la quarantaine bien sonnée et qui ont l'air d'être frère, un batteur et le concert débute. Et voilà, la prestation s'emballe très vite. Leur rock garage sixties est dopé aux hormones, la bonne humeur est clairement de mise tout comme l'envie de ne pas donner un concert d'un groupe de première partie censé chauffer la salle, mais plutôt d'être dans un élan de la brûler. Pour peu, on a eu un peu peur pour les Bellrays, c'est vous dire.
Fallait pas. Suite dans un prochain post.
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